Cela n’est pas une surprise.
Au sein des grandes entreprises, la main-d’œuvre est souvent perçue comme jetable, à l’instar du film de Stallone.
Je compare souvent les employés aux voitures de location ; vous recevez les clés, et une fois terminées, vous les restituez.
De nombreux employés sont recrutés par favoritisme ou par des liens familiaux, contribuant souvent peu au cours de leur mandat.
Ils naviguent dans la politique de bureau et assistent à des réunions infructueuses, apportant peu de valeur ajoutée.
S’il est nécessaire de se séparer des employés sous-performants, le véritable problème réside dans la rétention des cadres supérieurs incompétents.
Ils peuvent sembler profiter aux actionnaires en réduisant les coûts, mais en réalité, ce sont les actionnaires qui devraient tenir ces dirigeants parasites pour responsables de leurs primes et rémunérations excessives.
Qui a prétendu que le monde était juste ?